Bail commercial 3/6/9 : caractéristiques, avantages et conseils pour l’investissement

Le bail commercial 3/6/9 offre au propriétaire une stabilité de neuf ans et aux locataires la possibilité de résilier tous les trois ans. Ce contrat équilibre les besoins du marché en garantissant une vision à long terme pour les investisseurs. Dans cet article, nous décortiquons les spécificités de ce type de contrat pour vous aider à comprendre vos droits et obligations. Des conseils pratiques et des ressources utiles vous permettront d’éviter les erreurs courantes et de gérer votre bien en toute sérénité.

Client ImAvenir Charles
Mathieu Doliveux
Directeur associé d'ImAvenir

Définition et caractéristiques du bail 3/6/9

Le bail 3/6/9, ou bail commercial, est un contrat de location destiné aux locaux utilisés pour une activité commerciale, artisanale ou industrielle. Il se distingue par une durée minimale de neuf ans, d’où son nom, mais avec des possibilités de résiliation pour le locataire à intervalles réguliers de trois ans. Ce contrat cherche à concilier les besoins de stabilité financière pour l’investisseur et la flexibilité nécessaire à l’évolution de l’activité du locataire.

Caractéristiques principales :

  • Durée légale : 9 ans minimum, offrant une visibilité à long terme pour le propriétaire-bailleur.
  • Possibilité de résiliation triennale : Le locataire peut donner congé à l’issue de chaque période de trois ans, moyennant un préavis de six mois.
  • Droit au renouvellement : À l’expiration du bail, le locataire bénéficie d’un droit au renouvellement, sous réserve du respect de certaines conditions.
  • Révision du loyer : Le loyer peut être révisé tous les trois ans en fonction de l’indice des loyers commerciaux (ILC).
  • Indemnité d’éviction : Si le bailleur refuse le renouvellement sans motif légitime, il doit verser une indemnité d’éviction au locataire.

 

Durée et renouvellement du bail commercial

La durée légale minimale est de neuf ans.

À l’issue de cette période, le bail ne se renouvelle pas automatiquement. Le locataire bénéficie toutefois d’un droit au renouvellement, sous réserve de remplir certaines conditions :

  • Le locataire doit être propriétaire du fonds de commerce exploité dans les locaux.
  • Il doit être inscrit au Registre National des Entreprises (RNE) et, s’il est commerçant, au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS).
  • Le fonds de commerce doit avoir été exploité de manière effective au cours des trois années précédant la fin du bail.

Pour initier le renouvellement, le locataire doit adresser une demande au bailleur au moins six mois avant l’échéance du bail, par acte de commissaire de justice ou par lettre recommandée avec accusé de réception. Le bailleur dispose alors de trois mois pour répondre. En l’absence de réponse, le renouvellement est considéré comme accepté.

Si aucune des parties ne se manifeste à l’échéance du bail, celui-ci se prolonge tacitement pour une durée indéterminée. Cette situation, appelée tacite prolongation, maintient les conditions initiales du bail tout en permettant à chacune des parties de mettre fin au contrat en respectant un préavis de six mois.

En cas de refus de renouvellement sans motif légitime, le bailleur est tenu de verser une indemnité d’éviction au locataire, compensant le préjudice subi par la perte du fonds de commerce.

Conditions de résiliation du bail

Résiliation par le locataire (preneur)

  • Le locataire peut mettre fin au bail à la fin de chaque période de trois ans (soit après 3, 6 ou 9 ans), sans avoir à fournir de motif particulier. Pour ce faire, il doit notifier son congé au bailleur au moins six mois avant la fin de la période triennale, par lettre recommandée avec accusé de réception ou par acte d’huissier.
  • En dehors des échéances triennales, le locataire peut également résilier le bail dans des situations spécifiques, telles que la liquidation judiciaire de son entreprise, son départ à la retraite ou la perception d’une pension d’invalidité. Dans ces cas, les conditions de résiliation anticipée peuvent varier et nécessitent une attention particulière.

Résiliation par le bailleur

  • À l’expiration de chaque période triennale : Le bailleur peut donner congé au locataire à la fin de chaque période triennale, mais uniquement dans des situations précises, telles que :
    • La reconstruction ou la surélévation de l’immeuble existant.
    • La réaffectation du local d’habitation accessoire à son usage initial.
    • La transformation de l’immeuble à usage principal d’habitation par reconstruction, rénovation ou réhabilitation.
    • L’exécution de travaux prescrits ou autorisés dans le cadre d’une opération de restauration immobilière ou de démolition de l’immeuble dans le cadre d’un projet de renouvellement urbain.

Dans ces situations, le bailleur doit respecter un préavis d’au moins six mois avant l’échéance de la période triennale et notifier le congé par acte extrajudiciaire (acte d’huissier).

  • En cas de faute du locataire : Le bailleur peut également résilier le bail à tout moment si le locataire ne respecte pas ses obligations contractuelles, par exemple en cas de loyers impayés ou de modification non autorisée de l’activité exercée dans les lieux. Cette résiliation peut être effectuée soit par la mise en œuvre d’une clause résolutoire prévue dans le bail, soit par une demande en justice pour motif grave et légitime.

Résiliation d’un commun accord

À tout moment, le bailleur et le locataire peuvent convenir ensemble de mettre fin au bail de manière anticipée. Cette résiliation amiable doit être formalisée par écrit, précisant les modalités et conditions acceptées par les deux parties.

Loyer et révision

Dans le cadre de baux commerciaux 3/6/9, le loyer initial est librement fixé par les parties lors de la signature du contrat. Cependant, différents mécanismes de révision permettent d’ajuster ce loyer au cours du bail, afin de refléter les évolutions du marché.

Révision triennale légale

Tous les trois ans, chacune des parties (bailleur ou locataire) peut demander une révision du loyer. Cette demande doit être notifiée par acte d’huissier ou par lettre recommandée avec accusé de réception. Le nouveau loyer est alors déterminé en fonction de la valeur locative du bien, tout en respectant le plafonnement basé sur la variation de l’indice de référence choisi (souvent l’Indice des Loyers Commerciaux – ILC).

Clauses d’échelle mobile

Les parties peuvent insérer dans le bail une clause d’échelle mobile, prévoyant une indexation automatique du loyer en fonction d’un indice économique, généralement l’ILC ou l’Indice des Loyers des Activités Tertiaires (ILAT). Cette indexation est souvent annuelle et permet d’ajuster le loyer sans nécessiter de demande formelle de révision.

Révision en cas de variation de plus de 25% de l’indice

Si l’indice de référence subit une variation de plus de 25% par rapport au dernier loyer fixé, l’une des parties peut demander une révision du loyer à la valeur locative, sans attendre l’échéance triennale. Cette disposition vise à protéger les parties contre des fluctuations économiques importantes.

Révision lors du renouvellement du bail

À l’issue des neuf ans, lors du renouvellement du bail, le loyer peut être réévalué pour correspondre à la valeur locative du bien. Toutefois, cette révision est soumise à un plafonnement, sauf circonstances exceptionnelles justifiant un déplafonnement, comme une modification notable des facteurs locaux de commercialité.

Avantages pour l’investisseur

Le bail commercial 3/6/9 présente plusieurs avantages significatifs pour les investisseurs immobiliers :

1. Stabilité des revenus locatifs

Avec une durée minimale de neuf ans, ce type de bail assure au propriétaire une source de revenus régulière et prévisible sur le long terme. Cette stabilité financière est particulièrement appréciée des investisseurs cherchant à sécuriser leurs placements.

2. Possibilité de révision du loyer

Le bail 3/6/9 permet une révision triennale du loyer, généralement indexée sur des indices tels que l’Indice des Loyers Commerciaux (ILC). Cette disposition offre au bailleur la possibilité d’ajuster le loyer en fonction de l’évolution du marché immobilier et de l’inflation, préservant ainsi le rendement de son investissement.

3. Sécurité juridique

Le cadre légal du bail commercial 3/6/9 offre une protection juridique solide au bailleur. En cas de manquement du locataire à ses obligations (par exemple, des loyers impayés), le bailleur dispose de recours légaux pour faire valoir ses droits, incluant la possibilité de résilier le bail.

4. Valorisation du patrimoine immobilier

La signature d’un bail commercial de longue durée avec un locataire solide peut augmenter la valeur du bien immobilier. Un immeuble occupé par un locataire stable et générant des revenus réguliers est souvent perçu comme plus attractif par les investisseurs potentiels, facilitant ainsi une éventuelle revente à des conditions avantageuses.

5. Flexibilité contractuelle

Bien que le bail commercial 3/6/9 soit encadré par la loi, il offre une certaine flexibilité dans la négociation des clauses contractuelles. Le bailleur et le locataire peuvent convenir de modalités spécifiques concernant la répartition des charges, les travaux, ou encore les garanties, permettant d’adapter le contrat aux besoins et aux attentes de chaque partie.

Modèles et formalités légales à respecter

La rédaction et la conclusion d’un bail commercial 3/6/9 impliquent le respect de formalités légales précises et la prise en compte de clauses essentielles pour garantir la validité du contrat et protéger les intérêts des parties.

Clauses essentielles du bail commercial 3/6/9

  1. Identité des parties : Le contrat doit clairement identifier le bailleur (propriétaire) et le preneur (locataire), en incluant leurs coordonnées complètes.
  2. Description des locaux : Une description détaillée du bien loué est nécessaire, précisant sa superficie, son adresse et sa destination.
  3. Durée du bail : La durée minimale est de neuf ans, avec possibilité pour le locataire de résilier tous les trois ans, d’où l’appellation « 3/6/9 ».
  4. Montant du loyer et modalités de paiement : Le loyer initial, les modalités de paiement (mensuel ou trimestriel), ainsi que les conditions de révision (indexation) doivent être clairement stipulés.
  5. Destination des lieux : Le contrat doit spécifier l’activité que le locataire est autorisé à exercer dans les locaux.
  6. Répartition des charges et travaux : Il est essentiel de définir la répartition des charges entre le bailleur et le preneur, ainsi que la responsabilité des travaux d’entretien et de réparation.
  7. Garanties et dépôts de garantie : Les conditions relatives au dépôt de garantie et aux éventuelles cautions doivent être précisées.

Formalités légales à respecter

État des lieux : une étape clé pour prévenir les conflits

L’état des lieux est indispensable. Il doit être réalisé en toute transparence lors de la remise des clés. Un état des lieux détaillé et précis permet de préserver les intérêts des deux parties, en recensant l’état du bien à l’entrée du locataire. Ce document doit être annexé au bail, car il constitue une preuve en cas de désaccord à la fin du contrat, notamment pour évaluer d’éventuelles réparations ou détériorations.

Diagnostic de performance énergétique (DPE) : une obligation à ne pas négliger

Le DPE est un autre document clé. À la charge du bailleur, il doit être fourni au locataire au moment de la signature du bail. L’absence de ce diagnostic peut entraîner des sanctions, mais surtout, elle nuit à la transparence et à la sécurité du contrat. Annexé au bail, il informe le locataire sur la performance énergétique du bien, ce qui peut influencer sa décision de location.

Enregistrement du bail

Bien que l’enregistrement du bail commercial ne soit pas une obligation légale, il demeure vivement recommandé. En procédant à cet enregistrement, vous conférez une date certaine à l’acte, ce qui peut s’avérer essentiel en cas de contestation. Cela permet également de prouver l’existence du contrat de manière incontestable, évitant ainsi de nombreux conflits possibles sur sa validité ou sa durée.

Publication au service de la publicité foncière

Enfin, lorsque le bail est conclu pour une durée supérieure à 12 ans, la publication au service de la publicité foncière devient une formalité obligatoire. Cette démarche permet de rendre le contrat opposable aux tiers, en garantissant sa transparence et sa validité vis-à-vis des futurs propriétaires ou créanciers. En outre, elle assure que le bail sera pris en compte en cas de vente du bien ou de changement de propriétaire.

Pour faciliter la rédaction du bail commercial, il est possible d’utiliser des modèles gratuits disponibles en ligne. Par exemple, le site LegalPlace propose un modèle conforme aux exigences légales.

Les différences entre bail commercial et bail professionnel

 

Critères Bail Commercial Bail Professionnel
Activité Activités commerciales, industrielles, artisanales Professions libérales (réglementées ou non)
Durée minimale 9 ans (résiliation possible tous les 3 ans) 6 ans (résiliation possible à tout moment avec préavis de 6 mois)
Droit au renouvellement Droit automatique au renouvellement Pas de droit automatique au renouvellement
Cession du bail Possible, souvent soumise à l’accord du bailleur Possible, sauf clause contraire
Sous-location Généralement interdite sauf clause contraire En principe autorisée sauf clause contraire
Stabilité Forte stabilité grâce à la durée minimale et au droit de renouvellement Moins de stabilité, absence de garantie de renouvellement
Flexibilité Moins flexible en raison de l’engagement de longue durée Plus flexible avec une résiliation facilitée

 

Alternatives au bail 3/6/9

Bail dérogatoire (ou bail précaire)

Le bail dérogatoire permet à l’investisseur de louer un bien pour une durée maximale de 3 ans, sans droit au renouvellement automatique. Cette flexibilité est intéressante pour les investisseurs souhaitant tester la rentabilité d’un bien ou attirer des locataires temporaires, comme des entreprises en phase de démarrage ou des activités saisonnières. Cependant, l’absence de renouvellement peut entraîner une vacance locative rapide, ce qui peut affecter la rentabilité à long terme.

Bail professionnel

Le bail professionnel est destiné aux professions libérales et offre une plus grande flexibilité que le bail 3/6/9. D’une durée minimale de 6 ans, il permet au locataire de résilier à tout moment, moyennant un préavis de 6 mois. Pour un investisseur, cette option est intéressante si l’on recherche des locataires à faible risque, mais elle offre moins de sécurité que le bail commercial traditionnel, car le renouvellement n’est pas garanti et la stabilité à long terme est plus incertaine.

Location sans bail écrit

Cette alternative permet à un investisseur de louer un bien sans formaliser de contrat écrit. Bien que cette approche offre une grande flexibilité, elle comporte des risques significatifs, notamment en termes de sécurité juridique et de règlement des litiges. Un investisseur qui choisit cette option doit être prêt à accepter des relations moins formelles avec le locataire, ce qui peut mener à des conflits ou des difficultés pour récupérer son bien.

Location de bureaux partagés (coworking)

Les espaces de coworking sont une alternative moderne au bail traditionnel. Ils offrent des locations flexibles pour des périodes plus courtes et sont souvent inclus dans des structures partagées. Pour les investisseurs, cette solution est idéale si l’on cherche à maximiser l’occupation en offrant des locations à des entreprises ou des freelances. Cependant, le rendement par mètre carré peut être inférieur à celui d’une location classique, et la gestion d’un espace partagé nécessite une implication plus grande. Cela représente une option plus risquée mais potentiellement plus rentable à condition de bien gérer l’occupation.

Location de logement meublés

Si vous êtes un investisseur à la recherche de stabilité et de rentabilité à long terme, le bail 3/6/9 semble une option intéressante, surtout pour les locaux commerciaux. Cependant, si vous souhaitez diversifier votre portefeuille tout en profitant des avantages fiscaux et d’une flexibilité plus marquée, la location d’habitation en LMNP dans l’ancien à Paris peut offrir une alternative attractive.

Dans un marché aussi dynamique que celui de Paris, où la demande locative est élevée, investir dans un bien ancien à rénover et le louer en meublé sous le statut LMNP permet non seulement de bénéficier de réductions fiscales intéressantes, mais aussi de viser un rendement locatif élevé. Alors que le bail 3/6/9 offre une certaine sécurité en termes de durée, le LMNP dans l’ancien permet de conjuguer rentabilité et souplesse. Vous pouvez ajuster facilement votre stratégie locative en fonction des tendances du marché et des demandes des locataires, tout en profitant des nombreux avantages fiscaux, comme la possibilité d’amortir le bien et le mobilier.

FAQ

Quelles sont les obligations du bailleur et du locataire ?

Le bailleur doit délivrer un bien en bon état, assurer les réparations majeures, et garantir l’assurance contre les risques locatifs. Il est aussi responsable de l’entretien structurel du bien, sauf mention contraire dans le bail.

Le locataire, quant à lui, doit payer le loyer aux termes fixés, s’occuper de l’entretien courant et des réparations locatives, et souscrire une assurance couvrant les risques locatifs.

Comment se déroule la résiliation d’un bail 3/6/9 ?

Le locataire peut résilier le bail à la fin de chaque période triennale (3, 6 ou 9 ans) en respectant un préavis de 6 mois.

Le bailleur peut également résilier le bail à la fin de chaque période triennale, mais doit justifier d’un motif légitime et sérieux, comme la reprise du local pour y habiter ou exercer une activité professionnelle.

Quels sont les avantages et inconvénients de ce type de bail ?

Avantages : Le bail 3/6/9 offre une stabilité au bailleur avec une durée minimale de 9 ans, garantissant ainsi un revenu sécurisé. De son côté, le locataire bénéficie d’une certaine flexibilité, puisqu’il peut résilier le bail tous les 3 ans, ce qui lui permet d’adapter son activité aux évolutions du marché.

Inconvénients : Pour le bailleur, ce type de contrat peut s’avérer rigide, puisqu’il ne peut récupérer son bien qu’à la fin de chaque période triennale, sauf s’il justifie d’un motif légitime. De plus, lors du renouvellement du bail, le loyer peut être révisé à la baisse, ce qui peut nuire à la rentabilité de l’investissement.

Comment rédiger un contrat de bail commercial ?

Un contrat de bail commercial doit inclure l’identification des parties (nom et coordonnées du bailleur et du locataire), la description du bien (adresse, superficie, destination), la durée du bail (9 ans avec possibilité de résiliation tous les 3 ans), le montant du loyer et les modalités de révision, ainsi que la répartition des charges et taxes entre les parties. Il doit aussi préciser les obligations d’assurance pour chaque partie.

Quelles sont les conséquences d’une rupture anticipée ?

Si le locataire résilie le bail de manière anticipée sans respecter les conditions, il s’expose à des pénalités financières, voire des dommages-intérêts pour le bailleur. De son côté, si le bailleur résilie sans motif légitime, cela peut être considéré comme une résiliation abusive, et il devra verser des indemnités d’éviction au locataire.

Pour des informations plus détaillées, vous pouvez consulter les ressources suivantes :

Le bail 3/6/9 : un bon compromis, mais le bail meublé offre plus de flexibilité pour l’investissement

En conclusion, bien que le bail commercial 3/6/9 offre un bon équilibre entre sécurité et flexibilité pour les investisseurs immobiliers, il peut présenter des contraintes, notamment en matière de résiliation par le locataire à intervalles réguliers. Il est aussi plus difficile de retrouver des entreprises qui ont besoin de cet emplacement particulier avec cette surface (qui peut ne pas convenir à leurs besoins). Pour celles et ceux qui recherchent un investissement plus stable et moins exposé à ces fluctuations, l’investissement dans un logement meublé, comme un bien en Loueur Meublé Non Professionnel (LMNP), pourrait offrir des avantages supplémentaires. Ce type d’investissement assure une rentabilité intéressante, une gestion simplifiée et des avantages fiscaux attractifs, tout en minimisant les risques liés aux changements fréquents de locataires. Il mérite donc d’être envisagé pour un projet locatif plus serein et potentiellement plus rentable à long terme.

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